[Je] fais une chose: [...] je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ.
Philippiens 3.13,14
Lorsqu’est mort Roger Ebert, critique cinématographique lauréat d’un prix Pulitzer, un collègue journaliste a écrit de lui: «Malgré sa notoriété, ses honneurs, sa célébrité, ses entrevues exclusives et ses rencontres à faire rêver avec les géants du cinéma, Ebert n’a jamais perdu de vue l’essentiel de notre travail - critiquer des films. Ce qu’il faisait avec un zèle contagieux et un intellect pénétrant» (Dennis King, The Oklahoman).
L’apôtre Paul n’a jamais oublié l’essentiel de ce que Dieu désirait qu’il soit et fasse. L’attention et l’enthousiasme étaient au cœur de sa relation avec Christ. Qu’il ait été en train de raisonner avec des philosophes à Athènes, de vivre un naufrage en Méditerranée ou enchaîné à un soldat romain en prison, il s’est concentré sur son appel à connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances», ainsi qu’à le faire connaître à son tour (Ph 3.10).
Tandis qu’il était derrière les barreaux, Paul a écrit ceci à l’Église de Philippes: «[Je] ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ» (3.13,14). Dans quelque situation qu’il se trouvait, Paul s’empressait toujours d’accomplir sa vocation de disciple de Jésus-Christ. Puissions-nous ne jamais oublier l’essentiel de ce que nous sommes appelés à être en tant que disciples de Jésus. — David Mccasland
Paul ne se préoccupait que d’une seule chose: sa relation avec Jésus-Christ.
Oswald Chambers